Nini Brahms

Vala le monstre. Connaissant ma propension à l'exagération, je m'en remets à vous pour la modération!





Fiche de présentation.

Votre personnage:

*Nom :Brams

*Prénom :Nicéphore

*Date de naissance: 1er juillet 1972 – 24 ans

*Année scolaire et emploi :voila deux ans que Nicéphore travaille au ministère. Il a commencé comme coursier, employé par un certain Selwyn, homme d’influence, et mangemort, accessoirement. Depuis, il est devenu comme son bras droit, apprenant les petits trucs du milieu, même s’il manque d’éducation. On ne peut pas dire que ce qu’il fait est des plus honnêtes… Mais c’est utile. Dernièrement, Selwyn aimerait bien lui donner des missions un peu plus officielles (en apparence du moins), mais chaque fois il se retrouve confronté au manque de considération qu’on porte aux petites gens. La solution à ce problème a fini par apparaitre : Nicéphore ira faire des études à Poudlard ; il entrera en 3ème année du cursus de droit du magenmagot et possibilités publiques par équivalence (ou plutôt grâce à une lettre de recommandation bien placée. Reste à voir si cette lettre suffira… à son actif, il a aussi 9 année passées à se construire une culture en autodidacte et qui peut se révéler utile à l'occasion)

*Familles:Erf… La famille de Nicéphore, c’est vraiment pas la panacée. Enfin, ça dépend où on regarde. Déjà, il ne connait pas son père. Il sait qui c’est, mais ne l’a jamais rencontré. Sa mère (39 ans aujourd’hui) était une mère-enfant, et l’a laissé à ses parents après avoir rompu avec le père de l’enfant et décidée qu’elle n’était pas prête pour être mère. Enfin, jusqu’au jour où la magie de l’enfant s’est révélée et qu’elle lui a porté un intérêt renouvelé. Bref, les grands-parents de Nicéphore, un carrossier à la retraite et une femme de chambre dans un hospice, ont fait office de parents. Ces derniers avaient perdu un fils à peine âgé de 15 ans, et voyait maintenant leur fille partir sur la tangente, alors on ne pouvait pas dire qu’ils se lançaient dans l’éducation d’un nouvel enfant l’esprit tranquille… Ni qu’ils furent particulièrement tendres avec l’enfant. Enfin, voila qui donnait un cadre de vie stricte et modeste, et aujourd’hui, Nicéphore leur rend visite avec plaisir, leur portant une affection sans bornes dans la mesure ou il a maintenant compris pourquoi ils agissaient ainsi. Ce qui ne veut pas dire que leur cohabitation a été facile toute sa vie... Côté frères et sœurs, Nicéphore pourrait tout aussi bien en avoir, qu’il s’en ficherait et ne voudrait pas le savoir. Il ne veut plus entendre parler de sa mère de toute façon, ni de son père. En tout cas, quand il a quitté la maison à l’âge de 15 ans, il était officiellement fils unique.
Sinon, il y a les jules de sa mère… N’en ayant jamais eu grand-chose à faire de son gamin, elle laissait ses copains successifs le traiter un peu comme ils le voulaient. Autant dire qu’il est passé un peu par tout, sauf par des beaux-pères qu’il apprécie.

*Origines? Moldues

*Histoire : Une histoire sordide d’ordinaire déchu à dire vrai. Tout avait commencé plutôt normalement, avec une jeune fille et un jeune garçon tombant amoureux lors d’un festival de musique reconnu dans le monde entier. Fruit de leur amour aussi fulgurant qu’éphémère, un enfant devait voir le jour quelques mois plus tard. Sauf que les deux parents étaient eux-mêmes encore des enfants, et qu’aussi fort qu’ils essayent, ils n’arrivaient pas à jouer aux adultes. Alors ils se séparèrent, les parents de la demoiselle prirent en charge l’enfant pendant que leur fille finissait d’expérimenter tout un tas de choses du genre drogue et road-trip autour du monde dans le van de son nouveau petit copain.
Pendant 5 ans, Nicéphore apprit à ne pas devenir comme sa mère, à être bien sage et obéissant, même si la leçon devait rentrer à coups de pied. De ces années, il gardera l’habitude d’obéir sans discuter plus que ça et sortira avec une sainte horreur de la routine. Ses grands-parents étaient des gens très bien, méritants et tout, mais leur vie était incroyablement grise et triste dans ce petit quartier populaire et vieux. Par bien des aspects, il les détesta, et par d’autres, il les aima sans limites. Au moins reçu-t-il les bases d'une éducation stricte qui devaient lui être fort utile par la suite.
Finalement, l’émergence de son pouvoir devait marquer le chamboulement de son mode de vie. Un jour, durant sa sixième année, sa mère passa chez ses parents avec son nouveau jules (oui, ça n’arrête pas, je vous l’accorde), juste histoire de voir comment se portait le mioche et de récupérer quelques affaires. Elle était coutumière de ce genre d’escapade, et la plus part du temps, Nicéphore passait son temps à la regarder de loin, la dévorant des yeux, mais n’osant pas s’approcher, jusqu’à ce qu’elle s’esclaffe très fort, puis le prenne dans ses bras et le secoue dans tous les sens. Geste vide de sens mais qui devait faire du bien à la demoiselle, allez savoir. Il supportait le traitement parce que c’était sa mère, et qu’il ne voyait pas bien quoi faire d’autre, mais quand le petit ami se mit en tête de faire la même chose, des démangeaisons atroces prirent l’homme tout à coup. Personne n’aurait rien remarqué si des « accidents » du genre n’avaient cessé de se produire au cours de la journée et des écarts déplaisants de l’homme aux yeux de Nicéphore. Les grands-parents finirent même par avouer qu’il se passait parfois des choses bizarres dans l’entourage de l’enfant. On l’aura compris, la mère étant un peu hippie sur les bords, tout ce qui tourne autour du mystique l’attirait énormément. Là où la fibre maternelle n’avait pas prise, l’attirance pour l’étrange compensa, et la mère finit par embarquer le gamin avec elle. Il passa brutalement d’un mode de vie statique à une vie de bohème, rejoignant la troupe itinérante de gens du spectacle au sein de laquelle sa mère était « voyante ». Par esprit de contradiction, ce dernier ne révéla aucune prédisposition en bizarreries jusqu’à ce qu’il reçoive sa lettre de Poudlard, le jour de ses 11 ans. La seule qualité qu’on lui reconnaisse était un « truc » avec les animaux. Il s’entendait aussi très bien avec une grande partie de la troupe, donnant un coup de main par-ci par-là, et suivant l’enseignement dispensé à tous les enfants du groupe.
Ce jour-là, il prit la plus grosse rouste de sa vie. Non pas qu’il manque de pratique… Mais l’épisode marqua Nicéphore au fer rouge, et alors qu’il aurait décidé, quelques jours plus tôt, de refuser d’avoir à faire quoi que ce soit avec la magie, il se saisit de cette opportunité pour fuir sa vie actuelle et entra à l’école de sorcellerie, se disant que ça pourrait pas être pire que sa vie actuelle. A partir de là, chaque fois qu’il devait rentrer chez lui, il subit les persécutions perpétuelles de sa mère voulant savoir tout ce qu’il y avait à savoir sur la magie et ce monde à peine révélé. Inquisitrice, et rêvant de s’approprier ces savoirs pour essayer elle aussi, elle alternait cajolerie et crise horrible de colère pour le faire parler, mais, obstiné, Nicéphore ne lâchait rien. Il se contentait d’un silence froid ou d’insultes ignobles, suivant les circonstances, avant de sortir et d’aller passer du temps avec ses amis.
En parallèle, à Poudlard, Nicéphore avait intégré Gryffondor. Pas mauvais élève à la base, il devint rapidement la terreur des profs, entre joyeuse effronterie et crises de colère difficilement gérables. Jusqu’à ce qu’il quitte pour de bon l’école après ses Buses, plein d’amertume et sans avenir dans le monde sorcier (dans le monde moldu, n’en parlons même pas… en dehors de la troupe de sa mère, où il ne se rendait bien souvent que par obligation, il n’était pas bon à grand-chose et ne connaissait quasiment rien). Toutefois, il avait une certaine aisance en société en sa faveur, et même s’il devait ensuite se brouiller définitivement avec sa mère (après une période où il n'était qu'un fantôme de passage, il fugua pour de bon), et refuser de « mendier » auprès de ses grands-parents, par fierté, il trouva à se débrouiller. De chambre d’ami sorcier en chambre d’hôtel, de services rendu en coups à la limite de la légalité, il fit son chemin et creusa sa place dans un milieu bien plus douteux que tout ce qu’il avait côtoyé jusque là. Mais on peut dire qu’il s’y trouvait plutôt bien… Souvent, il avait suffisamment de revenus pour vivre dans une opulence feinte, ce qui lui suffit durant un temps. Il était comme un caméléon, se fondant dans la masse et en profitant pour voler, profiter et parasiter.
Puis vint la possibilité de faire véritablement ses preuves, de devenir quelqu'un, enfin. et il la saisit : ainsi, il se trouva lié à un certain Selwyn, employé au ministère prêt à tout, et mangemort à l’occasion. Ce dernier disait avoir vu le potentiel du garçon malgré l'absence de verni et le côté cabochard; il su le mater et obtint sa fidélité. Depuis, il le forme autant qu'il l'utilise pour ses basses besognes, ayant des projets pour lui, et Nicéphore n'ayant rien contre.


*Physique: Les cheveux châtains et les yeux noirs, il a la démarche souple et féline de qui est habitué à se glisser dans l’ombre sans se faire voir, et à pourtant une silhouette suffisamment imposante pour ne pas passer totalement inaperçue. De son enfance dans un « cirque », Nicéphore a conservé une souplesse certaine et une grâce naturelle. Alliées à son habitude des animaux sauvages, elles lui confèrent des gestes mesurés et réguliers, qui peuvent surprendre par leur efficacité finale et avérée. Economie de gestes qui l’aura bien souvent sorti de mauvais pas. Sinon… il ne manque pas de petites cicatrices, dont la plus évidente lui crève le cuir chevelu au niveau de la tempe. Les autres seront à découvrir
Niveau vêtement, il aime porter des habits de prix et bien coupés, mais étant donné son train de vie et ses moyens, mieux vaut des tenues utilitaires, ajustée, mais sobres et confortables (et solides surtout). Ainsi, dans les couloirs du ministère, il n’est pas rare de le croiser vêtu d’une veste de grand prix en velours d’un rouge peu discret et tout d’élégance parée, tandis qu’il se changera sans hésitation pour arborer une veste de toile vert foncé en se rendant à Poudlard l’après-midi.

*Traits de Caractère : On peut dire que Nicéphore est un garçon bien élevé, même si l’attitude de Bad Boy a tendance à le fasciner. Ce qui ne convient pas avec une tendance à l’emportement et peut parfois le mener assez loin. Il faut aussi savoir qu’il cultive la culpabilité, l’utilisant comme moteur pour avancer. Il fait une mauvaise action, puis il la fuit, ce qui lui permet d’aller de l’avant. Le fait qu'il ai un sacré culot aide, je dois dire.
Il en résulte une personnalité étrange pour qui le côtoie. Très cordiale au premier abord, amusant même, et fonceur, à l’image de ce camarade de classe toujours prêt à faire rire les copains et à mettre l’ambiance, il est curieux de tout et très ouvert. Avec lui, rien n’est grave, il y a toujours une solution. On pourrait facilement lui faire remarquer qu’on ne peut pas rire de tout s’il ne connaissait pas si bien les limites à ne pas dépasser, toujours à osciller entre le correct et l'incorrect. C'est un jeu pour lui, dont il sort gagnant du moment qu'il survie.
Ensuite, un tout autre visage se révèle. La relation devenant plus intime, il s’empêche difficilement d’en tester les limites par des actes que n’importe qui aurait tendance à regretter par la suite. D’une remarque désobligeante à une invitation un peu osée, on peut s’attendre à tout. En général, ça se termine par une baston bien franche, dont les choses ressortent mises au point, et lui avec un « maître ». Il n’y a que dans une relation d’obéissance qu’il sache se tenir.
Il ne se connaît, à ce jour, que deux choses qui puissent le pousser à se tenir convenablement: l’appât du gain et un ordre.
Bref, il a un petit côté gentleman cambrioleur dans son jeu de scène, mais qui ne dissimule que difficilement le chat de gouttière.

*Baguette : Il a cassé sa baguette originelle dans un accès de colère il y a quelques années, il se contente donc d’une baguette d’emprunt (il ne tardera pas à aller en acheter une pour retourner à Poudlard dans de bonnes conditions ^^)

*Animal de compagnie: Un chat noir, qu’il n’appelle pas.

*Ami(e) : Un paquet, mais aucun de véritablement intime. Il a surtout des relations.

*Ennemi(e): quelques uns, forcément. Le barman du chaudron baveur, entre autre. Une bonne baston ne peut pas tout régler finalement…

*Passe-Temps Favoris : Danser pour se défouler.

*Quelles maisons correspondraient le plus à votre personnage à votre avis et pourquoi ? Celle que vous souhaiteriez intégrer ? 3 lignes min Gryffondor dans l’âme.

*Difficultés dans les matières : Tout ce qui nécessite d’être appris par coeur et dans un livre.
Facilitées dans les matières: Tout ce qui est manuel et instinctif.

* Le but de votre personnage Au fil des ans, il a développé une ambition peu naturelle pour la richesse et un statut qu’il n’a aucune véritable raison d’envier. Il pourrait se contenter de vivre très simplement, comme professeur de soin aux créatures magiques, par exemple, mais non. Monsieur a une soif de reconnaissance et de pouvoir inextinguible. Le groupe des mangemorts pourrait l’aider dans cette voie, et c’est pour cette raison qu’il se laisse de plus en plus embarquer dans tout ça, mais il reste conscient qu’il ne sera jamais totalement accepté tant qu’il sera un sang-de-bourbe. Pour l’instant, il attend donc des opportunités à saisir, mais son ambition n’est plus de tremper dans tous les mauvais coups qui passent. Il veut au moins ce qu’il a pu acquérir : un poste au ministère et un peu de reconnaissance.


Quel groupe intégrerait-il à terme? (mangemorts, traditionnaliste, autre. Voir le contexte et le sujet sur les personnages pour répondre): Mangemort, si ce dernier décide à sortir de l’influence Voldemort et se rend compte que limiter les cercles des fidèles aux seuls sang-purs est une bêtise. Mais pour l’instant, il est loin d’être un homme de valeurs, il peut donc très bien s’allier à un autre groupe juste parce qu’on lui propose plus.


Vous mêmes:

Votre âge? oui
Avez-vous pris connaissance du règlement ? oui
Comment avez-vous découvert le site ? oui

Bienvenue à vous jeune Nicephore.

J'aimerai savoir qu'elles sont aujourd'hui les rapports avec sa mère. Parce qu'il a vécu quand même un peu avec elle, même si c'était plus avec son groupe, et qu'il y revient ou revenait de temps à autre.

Et quand tu dis qu'il manque d'éducation, c'est au niveau relation dans le monde codé du Ministère et des gens d'influence??? Car après tu dis qu'il avait une certaine aisance en société en sa faveur.

Bon, j'ai essayé de faire plus clair en éditant certain passages.

Pour résumer ici les réponses à tes interrogations...
Nicéphore a fini par fuguer. Donc il n'a plus de contact avec sa mère. Cette dernière n'en recherche pas plus que ça, elle a des nouvelles qui lui suffisent par ses parents. Bref, j'ai pas ajouté grand chose à ce sujet... Il n'y a rien d'intéressant à en sortir, quand bien même j'ajouterais tous les détails que j'ai en tête.

Pour la question de l'éducation... Disons qu'il lui manque sans aucun doute le vernis final pour concurrencer les nobles (c'est un p'tit voyou certes baroudeur, mais il y a des trucs qui s'inventent pas, peu importe le niveau du comédien!), mais il a du culot, donc de l'aisance. C'est comme ça qu'il s'est fait son chemin.

Et bien tu vas justement nous dire comment il a fait son chemin pour le compte de Selwyn en nous narrant un passage d'une dizaine de lignes. Un coup foireux, officiel, officieux, bref ce que le monsieur à pu lui demander de faire et qui le fait monter peu à peu l'échelle.

Nicéphore n'était pas content, et c'était le moins qu'on puisse dire. La pluie, le vent, la boue, le froid... Voila les conditions qu'il suffisait de réunir pour le mettre d'une humeur massacrante, et pour l'occasion venait s'ajouter un incident malheureux: un imbécile de clébard puant l'avait pris pour une bonne poire et décidé de le saluer comme il se doit. Résultat: il se retrouvait avait deux belles marques de patte sur sa veste en velours de chez Suit up and Barney.
Résistant avec peine à l'envie de sortir sa baguette en pleine rue moldue, il frottait avec rage les tâches de son mouchoir quand l'objet de sa présence apparu dans son champ de vision. Les photos n'avaient pas menti, la demoiselle était d'une beauté à couper le souffle, et la grisaille de cette journée de novembre n'aurait su en atténuer l'éclat.
A l'abri de la haie, Nicéphore l'observa un instant, occupée à lire sous l'auvent et chaudement emmitouflée dans une couverture, elle semblait tout droit sortie d'une peinture de Renoir. Douce et colorée.
Après un moment d'hésitation, il franchit le portail et s'avança. Il avait une mission à accomplir.

-Bonjour...?

L'air emprunté, il fit mine de chercher comment formuler ce qu'il avait à dire sous le regard interrogatif de la jeune femme.

- Excusez-moi de vous déranger... Mais...

Fouillant dans la poche de sa veste, il en sortit un parchemin tout en s'approchant toujours plus.

- Voyez-vous, je suis un peu perdu.

Toujours parler pour conserver le contact et pouvoir aller jusqu'au bout...

- Un ami m'a expressément conseillé de venir dans cette région, m'assurant que j'y trouverais un point d'intérêt dans le cadre de mes recherches, mais voyez-vous... Il a été un peu léger dans ses indications, et je crains de n'être venu pour rien si vous ne pouvez m'aider...

Arrivé en bas de la volée de trois marches menant au perron de la maison, Nicéphore s'arrêta et tandis le parchemin à bout de bras, un sourire engageant aux lèvres.

La demoiselle, en haut des marches, resserra la couverture autour de ses épaules avant de se saisir du papier. Une fois qu'elle eu pris connaissance de son contenu, son sourire s'élargit.

- Que puis-je pour vous aider?

Souriant à son tour plus largement, Nicéphore perdit son attitude hésitante, et avec aplomb, vint se placer aux côtés de la jeune femme, plus près qu'elle ne l'aurait sans aucun doute acceptée si elle s'était trouvée dans son état normal.
De la main, il repoussa la masse de ses cheveux cuivrés et découvrit un collier aux entrelacs de bronze.

- Votre collier, pourriez-vous me le confier? J'aurais quelque test à effectuer dessus.
- Bien sur!

Avec empressement, elle le décrocha et le tendit à Nicéphore. Avec quelle facilité elle se défaisait d'un bien dans sa famille depuis des générations! Le jeune homme n'aurait de cesse de s'en étonner.
D'un geste fluide et discret, il replia le parchemin et le glissa dans sa poche.

-Vous n'auriez pas quelque chose à boire? Voir même un petit sandwich... Je meurs de faim!

Au moins, depuis le temps, Nicéphore avait su laisser de côté son étonnement et appris à profiter des propriétés de l'artefact magique.
Suivant la demoiselle dans sa cuisine, il se demanda jusqu'où allait l'obéissance imposée par l'objet...

Un homme pleins de mystères et de ressources ce jeune Nicéphore (j'adore^^). Et bien au plaisir de le voir en action dans le RP. Quoiqu'il en soit officiellement bienvenue on board.
Le Ministère va devenir un haut lieux de la magouille. Rien de bien étonnant me direz-vous

Et hop! validé m'sieur ^^

Ce sera un plaisir que de participer à la réputation du ministère ^^